La première cérémonie de remise des prix Pure Sound dans le domaine de l'enregistrement sonore s'est tenue à Moscou. Pour la première fois en Russie a attiré l'attention sur l'enregistrement sonore, comme l'élément de base de l'industrie musicale du pays. Cela dépend beaucoup du niveau de développement de l'enregistrement sonore. Tout ce que nous écoutons en dehors des salles de concert est le résultat d'un enregistrement sonore. L'enregistrement est la base du développement des processus commerciaux clés de la musique qui déterminent finalement quoi, comment, où et qui nous écoutons.

La "première crêpe" de la cérémonie a déjà été réservée, ses résultats ne sont pas sans ambiguïté et seuls.

Je laisse sans commentaire la répartition des lieux et tout ce qui s'y rapporte. Du point de vue de la compétence professionnelle, il y a plus de questions que de réponses. Le jury doit juger de la qualité technique des parutions non pas des compositeurs, même du patronyme Tchaïkovski ou Rybnikov, mais de ceux qui ÉCRIVENT, y compris ces auteurs respectés.

Il se trouve que le Reahsound. L'équipe artistique s'est vu confier le rôle de transférer l'expérience aux ingénieurs du son à travers le pays, tandis que les sorties de Reachsound. L'art, pour des raisons formelles, n'a pas passé la modération.

Comment se fait-il que la musique des compositeurs Luigi Schiatti, Anton Tietz, Josephus Fodor, qui ont formé les fondements musicaux de l'État russe, selon le jury, ne tombe pas dans la catégorie de la musique russe, et donc, aussi, de la nominations au concours ? Comment se développerait toute la pensée musicale de l'État russe sans ces noms, y compris les membres du jury respecté, n'est pas pris en compte. Ces questions restent sans réponse.

Tous les nominés nommés par le jury avec une victoire en tout cas, le concours de l'avancement professionnel, une meilleure compréhension des problèmes auxquels est confrontée la direction la plus importante de l'industrie musicale du pays - l'enregistrement.